X-Men : La Relève
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 Dans la rue (libre)

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AuteurMessage
Simon VanLashen
Professeur
Simon VanLashen


Nombre de messages : 79
Localisation : Seul avec la solitude comme amie et la mort comme alliée
Date d'inscription : 23/06/2006

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MessageSujet: Dans la rue (libre)   Dans la rue (libre) Icon_minitimeSam 18 Nov 2006, 23:42

=> chambre

C’était un bon matin de novembre où le ciel bleu avait de nombreux nuages blancs pour le couvrir couvrant petit à petit ce qui donnait l’impression d’avoir une mer calme au-dessus de nos têtes, pour apporter une saveur coton. Ce n’était pas encore l’hiver, pourtant, tout semblant indiquer, que cela ne serait tardé. En effet, le froid était devenu plus persistant. Et la nuit était devenue plus sombre, et plus prompt à prendre la place du jour. Des signes qui ne trompent pas. Comme ce vent frappant le visage des passant dans cette rue, où des feuilles mortes viennent d’être tombées, et ne seront ramassés que dans quelques jours par des personnes payer pour cela.

Un jeune homme plus blond que la blanche des neiges habillé d’un gris qu’il aurait pu volé au nuage, et d’un pantalon marron à peine plus sombre que la terre, marchait à un pas rapide mais d’une même allure dans cette même rue. Ses pas claquaient sur le sol, à un rythme saccadé, imitation d’un battement de cœur qui viendrait de prendre peur. Cet homme bien des personnes ne le connaissait pas, et entre deux regards, on l’avait déjà oublié. Ce n’était pourtant pas une personne, en temps normal, qu’on oublierait facilement, des cheveux blancs et longs, un corps selve et halé, un regard emprunté à un enfant et à un sage, une allure charismatique, et une tenue négligée, en fessait un personnage marquant, mais dans cette ville, avec l’institue Xavier non loin, on avait déjà vu plus étrange. D’ailleurs l’aura de cette personne, tel son parfum, était si subtile, qu’on ne pouvait vraiment le percer, ni le voir, comme cacher derrière un masque.

L’enseignant en art de l’école Xavier eut un petit soupir doux qui sortit d’entre ses lèvres fines, et il laissa ses longs doigts passer devant ses yeux, se frottant légèrement ses paupières, fatigué par une nuit qui venait de passer. Son regard se leva vers le ciel, et un minime sourire se peignit sur son visage gracieux, il allait pleuvoir. A peine eut-il formulé cette pensée dans son cerveau qu’une fine couche de pluie s’abattit sur le paysage, rendant au bruit des pas des passants, un bruit de gouttes tombant et clapotant sur les pavés du large rue. Le froid vint d’un seul coup, le soleil disparaissant sous un nuage, la pluie tombant, et le vent, firent baisser la température, et les membres de l’homme commencèrent à se glacer. Il eut un frisson de froid qui remonta dans son dos, entre ses omoplates, et fit trembler le corps.

Cependant, ce froid et cette pluie ne rendirent pas l’homme malheureux. Hô, il n’était certes pas des plus heureux, mais, il ne craignait pas la pluie. Pourquoi l’aurait-il craint ? Avec un regard observateur il vit des hommes et des femmes courir pour s’abriter, et lui, contrairement aux autres, se laissa tomber sur un banc. Sous cette pluie. Pourquoi craignait-on la pluie ? Nos vies ne sont pas en sucre, elles ne fondront pas sous une pluie, même si elle avait une odeur de café, à la condition qu’elle ne soit pas brûlante. Et elle n’était pas brûlante, cette pluie.
La vie est une flamme, chez certaine personne, mais, le vent pourrait-il vraiment l’éteindre ?
Fessons le test.

La main halée du professeur claqua des doigts, et fit venir à lui une enveloppe jusqu'ici mit dans sa poche. Juste son nom et son prénom, écrit en caractère d'imprimerie. Le sien. Simon Vanlashen. Qui pouvait lui écrire ? Sans mettre de timbre, sans mettre d’adresse. Juste cela, trouvé sur le rebord de sa fenêtre. Qui savait, qu’il allait sur le bord de sa fenêtre ?

Dans la rue (libre) Image31ch1

L'homme soupira, il n'avait aucune envie de lire cette lettre. Mauvais pressentiment. D’un geste du doigt, pourtant, il fit déchirer le papier de l’enveloppe, et ses yeux parcourant de gauche à droite le document, lurent.

Dans la rue (libre) Image27kg0

Simon n’eut à aucun moment un changement d’expression, seul la lueur dans ses yeux se ternis et ses mains devinrent plus fortes sur le papier. Un instant, il resta là, fixant ce morceau de papier. C’était son père ? Ou c’était celle qui avait été la mme Vanlashen ? Peut-être les deux. Cela n’avait guère d’importance.
Il n’était pas en colère, juste profondément triste, mais, rien ne l’obligerait à aller là-bas. Ce n’était que de menaces en l’air !

Fermant son poing sur le papier, l’enseignant le jeta dans la poubelle après l’avoir déchiré, et il se partit. Direction, sa chambre.
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