Un sac en bandoulière, sa musique en boîte directement injecté dans sa tête et la fugue dans le corps il passe pressament dans le parc pour se rendre à destination. La musique violente hurle avec un volume trop élevé, ça lui fait serré les dents, mais ça l'empêche aussi de pleurer ou de détruire ce qui est devant lui. Les montagnes sont le choix qu'il a pris comme refuge, il verra ce qu'il fera là-bas en temps et lieux. Pour l'instant, il croise une ombre qui attire son attention, dans la lueur d'un lointain lampadaire une silhouette inhumaine semble prendre place sur un banc. Il ne change pas de trajectoire et passe maintenant devant le dit banc. Une femme ailée y git arborant un air morose. N'y portant aucun intérêt, il redirige devant alors son regard qu'il détournait vers sa gauche. Le tout, sans ralentir.